Bulletin de la Société de chirurgie de Paris

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Fréquemment cités

Page 213 - Middeldorpf n'a jamais vu survenir l'érysipèle ni l'infection purulente, et il est dès lors disposé à substituer au bistouri le galvano-cautère ou cautère tranchant dans l'ablation d'un grand nombre de tumeurs tant superficielles que profondes. Cette dernière question ne pourra être jugée...
Page 206 - C'est parce que la résistance que le réophore oppose au passage de l'électricité est d'autant plus grande que le fil est moins gros. On a même démontré que le dégagement de la chaleur augmente en raison inverse de la quatrième puissance du diamètre du fil. Par exemple, un fil de 1 millimètre de diamètre s'échauffe seize fois plus qu'un fil de 2 millimètres (lois de Riess). » Pour le même motif, les métaux mauvais conducteurs, comme le platine, s'échauffent plus aisément que les...
Page 154 - L'assemblée générale (les quatre classes réunies) s'est assemblée 1^25 avril, sous la présidence de M. Auger, vice-président; le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture de la liste des ouvrages offerts à la société pendant le mois ; des remerclments sout votes aux donateurs.
Page 207 - Centre les quatre couples , est situé le commutateur, petit appareil où sont placés les deux pôles, et qui est destiné à combiner les couples de plusieurs manières pour faire varier à volonté la tension et l'intensité de la pile. Le commutateur se compose d'une cuvette à huit trous et de trois couvercles différents. Les huit trous de la cuvette sont pleins de mercure; ils sont parfaitement isolés de leurs voisins, et chacun d'eux communique , par un gros conducteur, avec l'un des zincs...
Page 432 - C'est au sujet de cette même affection, de sa prodigieuse fréquence en Islande, et d'un moyen original qu'on ya dirigé avec succès contre les acéphalocystes du foie, que je viens présenter à la Société quelques détails recueillis dans ce pays pendant le voyage de SAI le prince Napoléon. Les statistiques régulièrement dressées par ordre du gouvernement danois, et que le médecin général de l'Islande transmet chaque année à Copenhague, établissent et nous ont appris que cette maladie,...
Page 209 - Celle-ci, dont la forme varie beaucoup, peut toujours, en définitive, être considérée comme une anse insérée par ses deux bouts sur l'extrémité des tiges précédentes. Lorsque le manche est fixé sur les grands conducteurs, le courant galvanique parcourt les deux tiges et le circuit se trouve fermé au moyen de l'anse de platine qui s'échauffe seule, en vertu des lois qui ont été exposées plus haut. C'est elle, en effet, qui, à cause de son moindre volume, et de la nature du métal...
Page 209 - De même, lorsqu'on veut retirer l'instrument, on pousse le coulant en sens inverse , et au bout d'un temps fort court le cautère est suffisamment éteint. Le calorique renaissant à mesure qu'il se dépense , on peut , sans retirer l'instrument, cautériser les tissus jusqu'à une profondeur en quelque sorte indéfinie. Opère-t-on dans le fond d'une cavité? On peut , bien mieux qu'avec le cautère actuel , protéger les parties environnantes; on peut même, sans arrêter la cautérisation , lancer...
Page 553 - On chercha donc à introduire dans le moignon pubien de la verge et par le pertuis d'où sortait l'urine, un stylet à panaris. Poussé avec une certaine force, cet instrument pénétra dans un cul-de-sac, c'est-àdire dans la poche supplémentaire dont il a été parlé plus haut.
Page 551 - ... elle s'arma d'un instrument bien tranchant , et en porta un coup rapide et violent sur la base du pénis alors en érection : il en résulta une large plaie intéressant au moins les deux tiers du fourreau de la verge , le corps caverneux gauche et presque la moitié du corps caverneux droit, l'urèthre enfin dans toute son épaisseur. Les vaisseaux dorsaux de l'organe, l'artère caverneuse gauche furent divisés.
Page 194 - Gaz. métl. de Paris, n°» 43. Depuis que M. Blot, en 1856, a signalé la présence du sucre dans l'urine des femmes en couches, des nourrices et d'un certain nombre de femmes enceintes, beaucoup de médecins se sont occupés de cette question et sont arrivés aux résultats les plus contradictoires. Or, il résulte des recherches faites sur ce sujet par M. de Sinéty, que < l'on peut à volonté produire la glycosurie chez les nourrices en supprimant brusquement l'allaitement; et...

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