Recueil de mémoires de médecine, de chirurgie et de pharmacie militaires

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1861
 

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Fréquemment cités

Page 254 - Il est, dit l'article 17 du décret du 23 mars 1852, « chargé, sous l'autorité du ministre de la guerre, de surveiller et de diriger, en ce qui concerne l'art de guérir, toutes les branches du service de santé, et d'éclairer le ministre sur toutes les questions qui s'y rapportent. Il donne un avis consultatif sur la désignation des officiers de santé pour les divers emplois du service sanitaire...
Page 425 - Lorsqu'on chauffe le chlorhydrate de naphtylamine brut, c'est-àdire renfermant du protochlorure d'étain, à la température de -f- 230 à + 250° environ, au bain d'huile, il reste dans la cornue une masse noirâtre, brillante, comme frittée. Cette matière est réduite en poudre fine et traitée à plusieurs reprises par l'eau bouillante pour lui enlever tout ce qu'elle renferme de soluble. Après sa dessiccation, on la traite par l'alcool bouillant, qui la dissout en partie en prenant une coloration...
Page 159 - Que la proportion de l'iode croît ordinairement dans les eaux avec celle du fer, de telle sorte que les eaux dites ferrugineuses peuvent être tout aussi bien nommées eaux iodurées; « 4°- Que les eaux des terrains ignés sont plus iodurées, en moyenne, et surtout plus uniformément, que celles des terrains de sédiment;
Page 501 - ... tomber peu à peu, en agitant sans cesse, une partie de naphtaline. Chaque addition de naphtaline produit un bruit analogue à l'immersion d'un fer rouge dans l'eau. Il se dégage à la fin, surtout si le liquide s'échauffe trop, une certaine quantité de vapeurs rutilantes qu'il est facile d'éviter. Par le refroidissement, tout' le liquide se prend en une masse cristalline.
Page 254 - II donne son avis sur toutes les questions qui lui sont renvoyées par le ministre. Le conseil de santé entretient une correspondance suivie avec les officiers de santé des hôpitaux et des corps de troupes et avec les officiers de santé en chef et principaux des armées, pour tout ce qui a rapport à la science et à l'art de guérir.
Page 500 - ... le sulfure de carbone, etc. La solution, d'un violet très-riche, teint parfaitement les étoffes. Cette couleur résiste à l'eau, aux solutions alcalines et aux acides même énergiques. Elle ne paraît pas s'altérer à la lumière. D'après M. Tichborne , on peut remplacer le sel stanncux par un sel ferreux.
Page 492 - L'art assigne aux amputations des lieux d'élection qui souvent obligent à sacrifier des portions de membre qu'on pourrait sauver, tandis que la nature, essentiellement conservatrice, n'enlève que ce qui, rigoureusement, ne peut vivre, En observant le travail de la nature, on se convainc d'abord...
Page 40 - ... plus grande d'eau distillée. Quant aux accidents consécutifs, je n'en ai pas vu, et il est constant pour moi que les auteurs qui nous ont fait un si triste tableau de l'état des malades qui avaient été soumis à ce traitement, même dans des proportions infiniment moindres que les nôtres, ont confondu les accidents consécutifs des fièvres intermittentes avec ceux du traitement.
Page 500 - Au bain-marie, dès que le mélange atteint la température de -]-800, l'opération est terminée. Le liquide est jeté sur un filtre et le précipité lavé jusqu'à épuisement de toute matière soluble. Il reste une poudre bleue violette, qui se dissout facilement dans l'alcool, l'esprit de bois, le sulfure de carbone, etc.

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