Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... un chemin part de moi Rêveuse toute en chair lumière toute en feu Aggrave mon plaisir annule l'étendue Hâte - toi de dissoudre et mon rêve et ma vue . CORPS IDÉAL BELLE Belle tu vas briser en t'endormant la chaîne Qui 15.
... un chemin part de moi Rêveuse toute en chair lumière toute en feu Aggrave mon plaisir annule l'étendue Hâte - toi de dissoudre et mon rêve et ma vue . CORPS IDÉAL BELLE Belle tu vas briser en t'endormant la chaîne Qui 15.
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Paul Éluard. BELLE Belle tu vas briser en t'endormant la chaîne Qui lie la plume de minuit au plomb des cendres Le corps mort à la bête qui bondit en songe Parmi les herbes et les feuilles confondues L'étendue verte a des charbons qui ...
Paul Éluard. BELLE Belle tu vas briser en t'endormant la chaîne Qui lie la plume de minuit au plomb des cendres Le corps mort à la bête qui bondit en songe Parmi les herbes et les feuilles confondues L'étendue verte a des charbons qui ...
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... du soir 13 Même quand nous dormons 14 Un seul sourire 15 Corps idéal 16 Belle 18 Dit de l'amour 20 Dit de la force de l'amour 22 Dit d'un jour 23 De solitude en solitude vers la vie 26 De détail en détail 27 Du fond de l'abîme.
... du soir 13 Même quand nous dormons 14 Un seul sourire 15 Corps idéal 16 Belle 18 Dit de l'amour 20 Dit de la force de l'amour 22 Dit d'un jour 23 De solitude en solitude vers la vie 26 De détail en détail 27 Du fond de l'abîme.
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux