Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 73
Paul Éluard. Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre a refermé son poing Aurore en moi dix - sept années toujours plus claires Et la mort entre en moi comme dans un moulin ...
Paul Éluard. Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre a refermé son poing Aurore en moi dix - sept années toujours plus claires Et la mort entre en moi comme dans un moulin ...
Page 130
... aurore Le crépuscule ouvrait avec prudence l'ombre Pour en chasser les bêtes noires . Je suis entré dans la ronde De ta vie malgré le temps Je t'accorde le temps de vivre Et le temps d'avoir vécu Tu m'accordes le temps d'être Avec toi ...
... aurore Le crépuscule ouvrait avec prudence l'ombre Pour en chasser les bêtes noires . Je suis entré dans la ronde De ta vie malgré le temps Je t'accorde le temps de vivre Et le temps d'avoir vécu Tu m'accordes le temps d'être Avec toi ...
Page 138
... aurore Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Pudeur était soûle souillée Richesse adorait la bêtise La beauté la pitié abreuvaient des charniers somptueux Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux étaient fermés La chair ...
... aurore Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Pudeur était soûle souillée Richesse adorait la bêtise La beauté la pitié abreuvaient des charniers somptueux Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux étaient fermés La chair ...
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux