Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 68
... aurore on moi pouvait creuser for mid Et rayonner , extent subtile et protectrice , Sur mes semblables qui auraient fleuri . e si vous avez choisi nayer file tabornly the sensjustice . N'ayez pitie , d'être Un jour viendra où je serai ...
... aurore on moi pouvait creuser for mid Et rayonner , extent subtile et protectrice , Sur mes semblables qui auraient fleuri . e si vous avez choisi nayer file tabornly the sensjustice . N'ayez pitie , d'être Un jour viendra où je serai ...
Page 73
Paul Éluard. Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre a refermé son poing Aurore en moi dix - sept années toujours plus claires Et la mort entre en moi comme dans un moulin ...
Paul Éluard. Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre a refermé son poing Aurore en moi dix - sept années toujours plus claires Et la mort entre en moi comme dans un moulin ...
Page 157
... aurore des regards confiants Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard Ta bouche était mouillée des premières rosées Le repos ébloui remplaçait la fatigue Et j'adorais l'amour comme à mes premiers jours . Les champs sont ...
... aurore des regards confiants Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard Ta bouche était mouillée des premières rosées Le repos ébloui remplaçait la fatigue Et j'adorais l'amour comme à mes premiers jours . Les champs sont ...
Table des matières
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Section 2 | 49 |
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux