Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... bête je m'accroche A notre chute à notre ruine Je suis au - dessous de tes restes J'aspire à ton néant je voudrais voir mon front Comme un caillou loin dans la terre Comme un bateau fondu dans l'eau Mon petit qui pourtant m'engendras en ...
... bête je m'accroche A notre chute à notre ruine Je suis au - dessous de tes restes J'aspire à ton néant je voudrais voir mon front Comme un caillou loin dans la terre Comme un bateau fondu dans l'eau Mon petit qui pourtant m'engendras en ...
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... bêtes et il a aussitôt envie De le prouver il leur sourit et il les voit répondre Nous avions une chienne elle était un peu folle La tête un peu trop noire pour un corps trop gris ... BÊTE ET UN SOURIRE La nuit n'est jamais complète Il y 161.
... bêtes et il a aussitôt envie De le prouver il leur sourit et il les voit répondre Nous avions une chienne elle était un peu folle La tête un peu trop noire pour un corps trop gris ... BÊTE ET UN SOURIRE La nuit n'est jamais complète Il y 161.
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... 152 Je t'aime 154 Certitude 155 Nous deux 156 La mort l'amour la vie 159 Chanson 160 Il faut bien y croire 161 D'une bête 162 Et un sourire 163 Sérénité 164 Matines 166 Marine Achevé d'imprimer le trente mars mil neuf cent soixante -
... 152 Je t'aime 154 Certitude 155 Nous deux 156 La mort l'amour la vie 159 Chanson 160 Il faut bien y croire 161 D'une bête 162 Et un sourire 163 Sérénité 164 Matines 166 Marine Achevé d'imprimer le trente mars mil neuf cent soixante -
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux