Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... beauté mon beau visage dispersé Il faudrait pour cacher ton horreur et ta honte Des mains nouvelles des mains entières dans leur tâche Mains travailleuses au présent Et courageuses même en rêve . VI Je parle du fond de l'abîme Je parle ...
... beauté mon beau visage dispersé Il faudrait pour cacher ton horreur et ta honte Des mains nouvelles des mains entières dans leur tâche Mains travailleuses au présent Et courageuses même en rêve . VI Je parle du fond de l'abîme Je parle ...
Page 50
... beauté De sable et de mousse et de crépuscule Mais c'était une beauté De chair de langue et de prunelles Une beauté bourgeon et déchet des saisons Beauté qui s'éteignait sous de vagues rencontres J'ai séparé des amoureux plus laids ...
... beauté De sable et de mousse et de crépuscule Mais c'était une beauté De chair de langue et de prunelles Une beauté bourgeon et déchet des saisons Beauté qui s'éteignait sous de vagues rencontres J'ai séparé des amoureux plus laids ...
Page 138
... beauté la pitié abreuvaient des charniers somptueux Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux étaient fermés La chair rauque tremblait dans le froid silencieux Et pour se prolonger le chagrin raisonnait Des veines de la nuit ...
... beauté la pitié abreuvaient des charniers somptueux Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux étaient fermés La chair rauque tremblait dans le froid silencieux Et pour se prolonger le chagrin raisonnait Des veines de la nuit ...
Table des matières
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Section 2 | 49 |
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux