Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 6
Page 98
... branches Comme si ces vivants que l'on nomme Sel de la terre ou lumière de nuit Ne pouvaient pas se contrefaire Ne pas avoir un ventre déférent Des seins décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en ...
... branches Comme si ces vivants que l'on nomme Sel de la terre ou lumière de nuit Ne pouvaient pas se contrefaire Ne pas avoir un ventre déférent Des seins décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en ...
Page 116
... ses feux . La flamme est restée sur la terre La flamme est la nuée du cœur Et toutes les branches du sang Elle chante notre air Elle dissipe la buée de notre hiver . Nocturne et en horreur a flambé le chagrin Les cendres 116.
... ses feux . La flamme est restée sur la terre La flamme est la nuée du cœur Et toutes les branches du sang Elle chante notre air Elle dissipe la buée de notre hiver . Nocturne et en horreur a flambé le chagrin Les cendres 116.
Page 130
... . Je suis entré dans la ronde De ta vie malgré le temps Je t'accorde le temps de vivre Et le temps d'avoir vécu Tu m'accordes le temps d'être Avec toi comme un enfant . Que l'hiver aiguise les branches Pour agripper la mort rêvée 130.
... . Je suis entré dans la ronde De ta vie malgré le temps Je t'accorde le temps de vivre Et le temps d'avoir vécu Tu m'accordes le temps d'être Avec toi comme un enfant . Que l'hiver aiguise les branches Pour agripper la mort rêvée 130.
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux