Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... est paresseux mais la nuit est active Un bol d'air à midi la nuit le filtre et l'use La nuit ne laisse pas de poussière sur nous a Mais cet écho qui roule tout le long du jour Cet écho hors du temps d'angoitte ou de caresses L.
... est paresseux mais la nuit est active Un bol d'air à midi la nuit le filtre et l'use La nuit ne laisse pas de poussière sur nous a Mais cet écho qui roule tout le long du jour Cet écho hors du temps d'angoitte ou de caresses L.
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... caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles son soleil est double Sommes - nous près ou loin de notre conscience Où sont nos bornes nos racines notre but Le long plaisir pourtant de nos métamorphoses ...
... caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles son soleil est double Sommes - nous près ou loin de notre conscience Où sont nos bornes nos racines notre but Le long plaisir pourtant de nos métamorphoses ...
Page 98
... décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en es - tu je vis j'ai vécu je vivrai Je crée je t'ai créée je te transformerai Pourtant je suis toujours par toi l'enfant sans ombre Je 98.
... décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en es - tu je vis j'ai vécu je vivrai Je crée je t'ai créée je te transformerai Pourtant je suis toujours par toi l'enfant sans ombre Je 98.
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux