Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... chair de langue et de prunelles Une beauté bourgeon et déchet des saisons Beauté qui s'éteignait sous de vagues rencontres J'ai séparé des amoureux plus laids ensemble Que séparés Pour les sauver j'ai fait chanter la solitude J'ai brisé ...
... chair de langue et de prunelles Une beauté bourgeon et déchet des saisons Beauté qui s'éteignait sous de vagues rencontres J'ai séparé des amoureux plus laids ensemble Que séparés Pour les sauver j'ai fait chanter la solitude J'ai brisé ...
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... chair rauque tremblait dans le froid silencieux Et pour se prolonger le chagrin raisonnait Des veines de la nuit surgissait une honte insoluble Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux étaient fermés Mais elle était déjà ...
... chair rauque tremblait dans le froid silencieux Et pour se prolonger le chagrin raisonnait Des veines de la nuit surgissait une honte insoluble Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux étaient fermés Mais elle était déjà ...
Page 157
... chair claire et je me suis senti léger Tu es venue la solitude était vaincue J'avais un guide sur la terre je savais Me diriger je me savais démesuré J'avançais je gagnais de l'espace et du temps J'allais vers toi j'allais sans fin vers ...
... chair claire et je me suis senti léger Tu es venue la solitude était vaincue J'avais un guide sur la terre je savais Me diriger je me savais démesuré J'avançais je gagnais de l'espace et du temps J'allais vers toi j'allais sans fin vers ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux