Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 55
... chemins où je finirai mort Je les parcours en esclave courbé ; Seule ma peine est ma propriété : Larmes , sueurs et le plus dur effort . Je ne suis plus qu'un objet de pitié Sinon de honte aux yeux d'un monde fort . J'ai de manger et de ...
... chemins où je finirai mort Je les parcours en esclave courbé ; Seule ma peine est ma propriété : Larmes , sueurs et le plus dur effort . Je ne suis plus qu'un objet de pitié Sinon de honte aux yeux d'un monde fort . J'ai de manger et de ...
Page 60
... chemins et sous ce ciel sans horizon Belles raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu le premier feu Bonne ma ...
... chemins et sous ce ciel sans horizon Belles raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu le premier feu Bonne ma ...
Page 109
... chemins de nos yeux S'étalaient des femmes sacrées Comme des voiles de mariées Intacts ou rapiécés onctueux et pesants Je parle en rêve et je transmets Le court moment du grand repos Le temps où rien n'est impossible La chair en plus le ...
... chemins de nos yeux S'étalaient des femmes sacrées Comme des voiles de mariées Intacts ou rapiécés onctueux et pesants Je parle en rêve et je transmets Le court moment du grand repos Le temps où rien n'est impossible La chair en plus le ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux