Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 14
Page
... déborde évoque , pour ceux qui l'entouraient de leur amitié , les jours qui succédèrent à l'atroce arrachement , quand Eluard se refusait encore à admettre l'irrémédiable . Au vers de Ronsard La mort a moissonné mon bien en sa verdeur ...
... déborde évoque , pour ceux qui l'entouraient de leur amitié , les jours qui succédèrent à l'atroce arrachement , quand Eluard se refusait encore à admettre l'irrémédiable . Au vers de Ronsard La mort a moissonné mon bien en sa verdeur ...
Page
Paul Éluard. Nous ne vieillirons pas ensemble Voici le jour En trop : le temps déborde . Ane ou vache coq ou cheval Jusqu'à la peau d'un.
Paul Éluard. Nous ne vieillirons pas ensemble Voici le jour En trop : le temps déborde . Ane ou vache coq ou cheval Jusqu'à la peau d'un.
Page 44
... déborde , illustré de photographies de Man Ray et de Dora Maar . LE TEMPS DÉBORDE A J. et A. derniers reflets de Le 28 novembre 1946, Paul Eluard perdait brutalement sa ...
... déborde , illustré de photographies de Man Ray et de Dora Maar . LE TEMPS DÉBORDE A J. et A. derniers reflets de Le 28 novembre 1946, Paul Eluard perdait brutalement sa ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux