Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 6
Page 65
... Désert pourri désert livide De ma morte que j'envie J'ai dans mon corps vivant les ruines de l'amour Ma 65.
... Désert pourri désert livide De ma morte que j'envie J'ai dans mon corps vivant les ruines de l'amour Ma 65.
Page 134
... désert Où la lumière est timide . Et l'horizon fuit avec toi contre le vent Fuit avec moi nous enfermant . Aller sans fin c'est aller loin Il pleut sans fin il fera beau bientôt . Nous sommes bien venus de plus loin l'un vers l'autre 134.
... désert Où la lumière est timide . Et l'horizon fuit avec toi contre le vent Fuit avec moi nous enfermant . Aller sans fin c'est aller loin Il pleut sans fin il fera beau bientôt . Nous sommes bien venus de plus loin l'un vers l'autre 134.
Page 142
... désert d'insectes et d'oiseaux D'insectes et d'oiseaux d'écureuils et de singes De tous les animaux aériens distrayants Et d'enfants turbulents échappés à leur geôle Debout elle avait l'air de composer les jeux Qui prennent pour pain ...
... désert d'insectes et d'oiseaux D'insectes et d'oiseaux d'écureuils et de singes De tous les animaux aériens distrayants Et d'enfants turbulents échappés à leur geôle Debout elle avait l'air de composer les jeux Qui prennent pour pain ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux