Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 6
Page 26
... feuille ourle le paysage Naïve comme un œil oublieux du visage Et le jour d'aujourd'hui saisissant les dormeurs Rejette dans la nuit leurs ombres de dormeurs . A Elsa Triolet Au milieu du délire Gorges tumultueuses et ventres dévorants La ...
... feuille ourle le paysage Naïve comme un œil oublieux du visage Et le jour d'aujourd'hui saisissant les dormeurs Rejette dans la nuit leurs ombres de dormeurs . A Elsa Triolet Au milieu du délire Gorges tumultueuses et ventres dévorants La ...
Page 41
... feuille et blanc métal Poisseux d'ivresse et de chaleur Or oui de l'or pour naître au sol Sous l'écrasante multitude Sous la vie accablante et bonnè . NOTRE MOUVEMENT Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le 4I II.
... feuille et blanc métal Poisseux d'ivresse et de chaleur Or oui de l'or pour naître au sol Sous l'écrasante multitude Sous la vie accablante et bonnè . NOTRE MOUVEMENT Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le 4I II.
Page 131
... feuille morte tombe dans un bain d'azur . Et je respire et je me double Du vent qui va vers le printemps Déserts et ruines mauvais temps Purifient l'aube des récoltes . Je t'aime j'ai dans les vertèbres L'émancipation des ténèbres . De ...
... feuille morte tombe dans un bain d'azur . Et je respire et je me double Du vent qui va vers le printemps Déserts et ruines mauvais temps Purifient l'aube des récoltes . Je t'aime j'ai dans les vertèbres L'émancipation des ténèbres . De ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux