Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... force près de toi Je suis le dessous de la bête je m'accroche A notre chute à notre ruine Je suis au - dessous de tes restes J'aspire à ton néant je voudrais voir mon front Comme un caillou loin dans la terre Comme un bateau fondu dans ...
... force près de toi Je suis le dessous de la bête je m'accroche A notre chute à notre ruine Je suis au - dessous de tes restes J'aspire à ton néant je voudrais voir mon front Comme un caillou loin dans la terre Comme un bateau fondu dans ...
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... force d'incarner la nature fidèle Forte comme un fruit mûr faible comme une aurore Débordant des saisons et recouvrant des hommes A force d'être comme un pré qui hume l'eau Qui donne à boire à son terrain de haute essence Innocent ...
... force d'incarner la nature fidèle Forte comme un fruit mûr faible comme une aurore Débordant des saisons et recouvrant des hommes A force d'être comme un pré qui hume l'eau Qui donne à boire à son terrain de haute essence Innocent ...
Page 83
... force d'être si patiente et souple et droite A force de mêler le blé de la lumière Aux caresses des chairs de la terre à minuit A midi sans savoir si la vie est valable Tu m'as ouvert un jour de plus est - ce aujourd'hui Est - ce demain ...
... force d'être si patiente et souple et droite A force de mêler le blé de la lumière Aux caresses des chairs de la terre à minuit A midi sans savoir si la vie est valable Tu m'as ouvert un jour de plus est - ce aujourd'hui Est - ce demain ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux