Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... fruit mûr faible comme une aurore Débordant des saisons et recouvrant des hommes A force d'être comme un pré qui hume l'eau Qui donne à boire à son terrain de haute essence Innocent attendant un pas balbutiant Comme un travail et comme ...
... fruit mûr faible comme une aurore Débordant des saisons et recouvrant des hommes A force d'être comme un pré qui hume l'eau Qui donne à boire à son terrain de haute essence Innocent attendant un pas balbutiant Comme un travail et comme ...
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... fruit a noirci J'aurais pu perdre les couleurs Qui m'imposaient d'être moi - même et ce que j'aime J'aurais pu perdre le pouvoir De savoir le poids du blanc et du noir Une fleur étincelle au milieu du printemps Rouille la pluie la ronge ...
... fruit a noirci J'aurais pu perdre les couleurs Qui m'imposaient d'être moi - même et ce que j'aime J'aurais pu perdre le pouvoir De savoir le poids du blanc et du noir Une fleur étincelle au milieu du printemps Rouille la pluie la ronge ...
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... fruit Un anneau elle était pareille à un anneau Anneau du cœur du corps de l'œil et de la main Du ventre et de la lune pâle de midi Le sang humain en elle colorait le monde Elle devint le prisme et sa voix retentit Des ailes étendues ...
... fruit Un anneau elle était pareille à un anneau Anneau du cœur du corps de l'œil et de la main Du ventre et de la lune pâle de midi Le sang humain en elle colorait le monde Elle devint le prisme et sa voix retentit Des ailes étendues ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux