Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 14
... deux Et l'azur en tes yeux ravis Contre la masse de la nuit Trouvait sa flamme dans mes yeux J'ai vu par besoin de savoir La haute nuit créer le jour Sans que nous changions d'apparence . Sous le ciel grand ouvert la mer ferme ses ailes 14.
... deux Et l'azur en tes yeux ravis Contre la masse de la nuit Trouvait sa flamme dans mes yeux J'ai vu par besoin de savoir La haute nuit créer le jour Sans que nous changions d'apparence . Sous le ciel grand ouvert la mer ferme ses ailes 14.
Page 82
... une aurore Débordant des saisons et recouvrant des hommes A force d'être comme un pré qui hume l'eau Qui donne à boire à son terrain de haute essence Innocent attendant un pas balbutiant Comme un travail et comme un jeu comme un calcul 82.
... une aurore Débordant des saisons et recouvrant des hommes A force d'être comme un pré qui hume l'eau Qui donne à boire à son terrain de haute essence Innocent attendant un pas balbutiant Comme un travail et comme un jeu comme un calcul 82.
Page 121
Paul Éluard. Tu es venue plus haute au fond de ma douleur Que l'arbre séparé de la forêt sans air Et le cri du chagrin du doute s'est brisé Devant le jour de notre amour Gloire l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé ...
Paul Éluard. Tu es venue plus haute au fond de ma douleur Que l'arbre séparé de la forêt sans air Et le cri du chagrin du doute s'est brisé Devant le jour de notre amour Gloire l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé ...
Table des matières
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