Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 8
Page 119
... hommes tournant dans le vent Muscles voyants squelette intime Et la vapeur des sentiments Le cœur réglé comme un cercueil Les espoirs réduits à néant Tu es venue l'après - midi crevait la terre Et la terre et les hommes ont changé de ...
... hommes tournant dans le vent Muscles voyants squelette intime Et la vapeur des sentiments Le cœur réglé comme un cercueil Les espoirs réduits à néant Tu es venue l'après - midi crevait la terre Et la terre et les hommes ont changé de ...
Page 128
... hommes sont faits pour s'entendre Pour se Qui réinteront le genes . ni licé des hommes J'ai cru pouvoir briser la profondeur l'immensité Par mon chagrin fout nu sans contact sens écho Je me suis étendre dans ma prison aux portes vierges ...
... hommes sont faits pour s'entendre Pour se Qui réinteront le genes . ni licé des hommes J'ai cru pouvoir briser la profondeur l'immensité Par mon chagrin fout nu sans contact sens écho Je me suis étendre dans ma prison aux portes vierges ...
Page 138
Paul Éluard. Le paysage se fermait comme un caillou Les hommes s'éveillaient fatigués sans mémoire La fumée de leurs rêves empestait l'aurore Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Pudeur était soûle souillée Richesse adorait la ...
Paul Éluard. Le paysage se fermait comme un caillou Les hommes s'éveillaient fatigués sans mémoire La fumée de leurs rêves empestait l'aurore Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Pudeur était soûle souillée Richesse adorait la ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux