Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 37
Page
... jour , l'amour qui ne se ment pas à lui - même , une fois encore renaît de ses cendres : du Mexique il revient avec Dominique et Le phénix , prend son essor que , le 18 novembre 1952 , la mort d'Eluard ... jour pour jour , disparaissait Paul.
... jour , l'amour qui ne se ment pas à lui - même , une fois encore renaît de ses cendres : du Mexique il revient avec Dominique et Le phénix , prend son essor que , le 18 novembre 1952 , la mort d'Eluard ... jour pour jour , disparaissait Paul.
Page
Paul Éluard. Voici dix ans , jour pour jour , disparaissait Paul Eluard . Mais ses poèmes , tutélaires à l'égal de la strophe apollinarienne , dans le poudroiement des soleils heureux , et la saulaie du souvenir , charmeront ceux qui ...
Paul Éluard. Voici dix ans , jour pour jour , disparaissait Paul Eluard . Mais ses poèmes , tutélaires à l'égal de la strophe apollinarienne , dans le poudroiement des soleils heureux , et la saulaie du souvenir , charmeront ceux qui ...
Page 42
... jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles son soleil est double Sommes - nous près ou loin de notre conscience Où sont nos bornes nos racines notre but Le ...
... jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles son soleil est double Sommes - nous près ou loin de notre conscience Où sont nos bornes nos racines notre but Le ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux