Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 13
Page 90
Paul Éluard. Frapper la femme monstre de sagesse Captiver l'homme à force de patience Doucer la femme pour éteindre l'homme Tout contrefaire afin de tout réduire Autant rêver d'être seul et aveugle . Je n'ai de cœur qu'en mon front ...
Paul Éluard. Frapper la femme monstre de sagesse Captiver l'homme à force de patience Doucer la femme pour éteindre l'homme Tout contrefaire afin de tout réduire Autant rêver d'être seul et aveugle . Je n'ai de cœur qu'en mon front ...
Page 98
Paul Éluard. Je ne serais qu'un homme qui a tort Baiser m'enivre un peu plus qu'il ne faut Je suis futur et rien n'a de limites Toi l'endormie moi l'homme sans sommeil Nous partageons une marge indistincte De fruits de fleurs de fruits ...
Paul Éluard. Je ne serais qu'un homme qui a tort Baiser m'enivre un peu plus qu'il ne faut Je suis futur et rien n'a de limites Toi l'endormie moi l'homme sans sommeil Nous partageons une marge indistincte De fruits de fleurs de fruits ...
Page 146
... L'enfant - reflet anime un amour réciproque . VI Une perle un amas de sèves conjuguées Dans un coin sombre où gît l'enfant d'amours banales Palme de l'avenir couronne non coupable Un enfant la sortie du dédale de ... l'horizon de l'homme 146.
... L'enfant - reflet anime un amour réciproque . VI Une perle un amas de sèves conjuguées Dans un coin sombre où gît l'enfant d'amours banales Palme de l'avenir couronne non coupable Un enfant la sortie du dédale de ... l'horizon de l'homme 146.
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux