Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... l'ombre mort heureuse Le feu devient eau tiède et le pain est en miettes Le sang farde un sourire et la foudre une larme Le plomb caché par l'or pèse sur nos victoires Nous n'avons rien semé qui ne soit ravagé Par le bec minutieux des ...
... l'ombre mort heureuse Le feu devient eau tiède et le pain est en miettes Le sang farde un sourire et la foudre une larme Le plomb caché par l'or pèse sur nos victoires Nous n'avons rien semé qui ne soit ravagé Par le bec minutieux des ...
Page 121
... l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé le fardeau s'est fait rire Gloire le souterrain est devenu sommet La misère s'est effacée La place d'habitude où je m'abêtissais Le couloir sans réveil l'impasse et la fatigue ...
... l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé le fardeau s'est fait rire Gloire le souterrain est devenu sommet La misère s'est effacée La place d'habitude où je m'abêtissais Le couloir sans réveil l'impasse et la fatigue ...
Page 145
... l'ombre d'un oiseau Pèse plus lourd que lui sur la terre géante Il va d'une heure à l'autre avec tranquillité Le beau temps le pénètre de ses cloches d'or La cruche de la lune refraîchit ses moelles Au golfe du berceau il se noue et s ...
... l'ombre d'un oiseau Pèse plus lourd que lui sur la terre géante Il va d'une heure à l'autre avec tranquillité Le beau temps le pénètre de ses cloches d'or La cruche de la lune refraîchit ses moelles Au golfe du berceau il se noue et s ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux