Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... long La vie leur paraissait courte Et des couvertures tachées par l'hiver Sur des cœurs sans corps sur des cœurs sans nom Faisaient un tapis de dégoût glacé Même en plein été . IV Le solitaire toujours premier Comme un ver dans une noix ...
... long La vie leur paraissait courte Et des couvertures tachées par l'hiver Sur des cœurs sans corps sur des cœurs sans nom Faisaient un tapis de dégoût glacé Même en plein été . IV Le solitaire toujours premier Comme un ver dans une noix ...
Page 42
... long du jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles son soleil est double Sommes - nous près ou loin de notre conscience Où sont nos bornes nos racines notre ...
... long du jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles son soleil est double Sommes - nous près ou loin de notre conscience Où sont nos bornes nos racines notre ...
Page 164
... 'allumaient Tu commençais une journée Rien ne devait faire long feu Ce jour brillait comme tant d'autres Je dormais j'étais né d'hier Toi tu t'étais levée très tôt Pour matinale m'accorder Une perpétuelle enfance . Je te regarde 164.
... 'allumaient Tu commençais une journée Rien ne devait faire long feu Ce jour brillait comme tant d'autres Je dormais j'étais né d'hier Toi tu t'étais levée très tôt Pour matinale m'accorder Une perpétuelle enfance . Je te regarde 164.
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux