Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 23
Page 11
... lumière qui s'en va La lumière qui revient L'aube et le soir nous font rire Au cœur de notre corps Tout fleurit et mûrit Sur la paille de ta vie Où je couche mes vieux os Où je finis . LE MOUVEMENT DU SOIR Petit feu d'occasion miroir ...
... lumière qui s'en va La lumière qui revient L'aube et le soir nous font rire Au cœur de notre corps Tout fleurit et mûrit Sur la paille de ta vie Où je couche mes vieux os Où je finis . LE MOUVEMENT DU SOIR Petit feu d'occasion miroir ...
Page 123
... lumière ne s'endort jamais . Le brouillard mêle sa lumière A la verdure des ténèbres 123.
... lumière ne s'endort jamais . Le brouillard mêle sa lumière A la verdure des ténèbres 123.
Page 159
... lumière Et ils s'en vont vers la lumière Dans l'amour la vie a toujours Un cœur léger et renaissant Rien n'y pourra jamais finir Demain s'y allège d'hier . CHANSON IL FAUT BIEN Y CROIRE Les jeux de ces curieux 159.
... lumière Et ils s'en vont vers la lumière Dans l'amour la vie a toujours Un cœur léger et renaissant Rien n'y pourra jamais finir Demain s'y allège d'hier . CHANSON IL FAUT BIEN Y CROIRE Les jeux de ces curieux 159.
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux