Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 7
Page
Paul Éluard. Cofsit in trips beri sus étions sur les plages veten de bon matin pats nes et sans chopar Et vite comme vala ungue L thou blesseit dun ceanaud is caron los for comme le sages 0 00 O CO 0000 O Nush et Paul Eluard en 1946 avec ...
Paul Éluard. Cofsit in trips beri sus étions sur les plages veten de bon matin pats nes et sans chopar Et vite comme vala ungue L thou blesseit dun ceanaud is caron los for comme le sages 0 00 O CO 0000 O Nush et Paul Eluard en 1946 avec ...
Page 133
... Notre sève s'enflamme dans notre miroir . VI Il faudra se lever demain matin très tôt Dans le noir sous le coup d'un dégoût enfantin A l'heure noire se lever pour y voir clair . Tu fuis contre le vent la jupe ramassée Les cheveux 133.
... Notre sève s'enflamme dans notre miroir . VI Il faudra se lever demain matin très tôt Dans le noir sous le coup d'un dégoût enfantin A l'heure noire se lever pour y voir clair . Tu fuis contre le vent la jupe ramassée Les cheveux 133.
Page 147
... Un tout petit enfant un matin d'exception Fructifiant au ras du sol Une cendre rougeoyant Un dimanche visible Une vague réduite à une goutte d'eau Une lampe en plein jour . Mes souvenirs vont au cœur loin De chaque enfant inexpressif 147.
... Un tout petit enfant un matin d'exception Fructifiant au ras du sol Une cendre rougeoyant Un dimanche visible Une vague réduite à une goutte d'eau Une lampe en plein jour . Mes souvenirs vont au cœur loin De chaque enfant inexpressif 147.
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux