Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... midi la nuit le filtre et l'use La nuit ne laisse pas de poussière sur nous Mais cet écho qui roule tout le long du jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles ...
... midi la nuit le filtre et l'use La nuit ne laisse pas de poussière sur nous Mais cet écho qui roule tout le long du jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes insipides Et des mondes sensibles ...
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... midi nous attendions l'orage Il éclatait lorsque la nuit tombait Et les abeilles saccageaient la ruche Puis de nos mains tremblantes maladroites Nous allumions par habitude un feu La nuit tournait autour de sa prunelle Et nous disions ...
... midi nous attendions l'orage Il éclatait lorsque la nuit tombait Et les abeilles saccageaient la ruche Puis de nos mains tremblantes maladroites Nous allumions par habitude un feu La nuit tournait autour de sa prunelle Et nous disions ...
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... midi Le sang humain en elle colorait le monde Elle devint le prisme et sa voix retentit Des ailes étendues irisèrent ses rires Son chant sonna très haut l'évidence et l'exemple Elle nomma d'emblée toute forme avouée La courbe de ses ...
... midi Le sang humain en elle colorait le monde Elle devint le prisme et sa voix retentit Des ailes étendues irisèrent ses rires Son chant sonna très haut l'évidence et l'exemple Elle nomma d'emblée toute forme avouée La courbe de ses ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux