Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... du moindre amour De l'hiver un enfant de rien Avec sa suite de guenilles Avec son cortège de peurs Et de pieds froids sur des tombeaux Dans le doux désert de la rue . Le centre du monde est partout et chez nous Soudain 40.
... du moindre amour De l'hiver un enfant de rien Avec sa suite de guenilles Avec son cortège de peurs Et de pieds froids sur des tombeaux Dans le doux désert de la rue . Le centre du monde est partout et chez nous Soudain 40.
Page 60
... Monde au petit bonheur , sans surface et sans fond , Aux charmes oubliés sitôt que reconnus , La naissance et la mort mêlent leur contagion Dans les plis de la terre et du ciel confondus . Je n'ai rien séparé mais j'ai doublé mon cœur ...
... Monde au petit bonheur , sans surface et sans fond , Aux charmes oubliés sitôt que reconnus , La naissance et la mort mêlent leur contagion Dans les plis de la terre et du ciel confondus . Je n'ai rien séparé mais j'ai doublé mon cœur ...
Page 147
... monde elle est constamment de ce monde . VII Un tout petit enfant un matin d'exception Fructifiant au ras du sol Une cendre rougeoyant Un dimanche visible Une vague réduite à une goutte d'eau Une lampe en plein jour . Mes souvenirs vont ...
... monde elle est constamment de ce monde . VII Un tout petit enfant un matin d'exception Fructifiant au ras du sol Une cendre rougeoyant Un dimanche visible Une vague réduite à une goutte d'eau Une lampe en plein jour . Mes souvenirs vont ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux