Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... nature comme jadis , sera glorifié . Des années passent . Eluard a franchi la crise redoutable , mais le désespoir ne lui rend qu'à regret ses ailes . Cependant , à défaut de la sérénité , il accède à l'apaisement et , un jour , l'amour ...
... nature comme jadis , sera glorifié . Des années passent . Eluard a franchi la crise redoutable , mais le désespoir ne lui rend qu'à regret ses ailes . Cependant , à défaut de la sérénité , il accède à l'apaisement et , un jour , l'amour ...
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Paul Éluard. La mort l'amour . la vie it la nature et leur patrie Calle de tous les hommes & Celle de sous les temps . x de vivre qui s'annule X 1 Maintenant je me lève. Les champs sont labouras les usines rayonnent Et le blé fait son mid ...
Paul Éluard. La mort l'amour . la vie it la nature et leur patrie Calle de tous les hommes & Celle de sous les temps . x de vivre qui s'annule X 1 Maintenant je me lève. Les champs sont labouras les usines rayonnent Et le blé fait son mid ...
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... ferme que pensée Luttant pour exister Plus dure que la vie Entremêlée d'espoir Graine des fleurs fanées Celle qui s'est donnée A partir d'elle tout se donne Dans la nature et dans l'homme Tout se donne en silence En gestes en paroles Je ...
... ferme que pensée Luttant pour exister Plus dure que la vie Entremêlée d'espoir Graine des fleurs fanées Celle qui s'est donnée A partir d'elle tout se donne Dans la nature et dans l'homme Tout se donne en silence En gestes en paroles Je ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux