Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 9
Page 27
Paul Éluard. I La lumière et la chaleur Piétinées dispersées Le pain Volé aux naïfs Le fil de lait Lancé aux bêtes enragées Quelques profondes mares de sang Quelques incendies pétulants Pour égayer ceux qui vont vivre Vivre vivre sur ...
Paul Éluard. I La lumière et la chaleur Piétinées dispersées Le pain Volé aux naïfs Le fil de lait Lancé aux bêtes enragées Quelques profondes mares de sang Quelques incendies pétulants Pour égayer ceux qui vont vivre Vivre vivre sur ...
Page 37
... à pourvoir Aux jours sans pain sans charbon C'est une question de taille Tant de sages pour un fou Mais rien par - delà l'immense Majorité du bon sens Un jour cru sans proportions ICI La rue comme une blessure Qui ne se fermera pas 37.
... à pourvoir Aux jours sans pain sans charbon C'est une question de taille Tant de sages pour un fou Mais rien par - delà l'immense Majorité du bon sens Un jour cru sans proportions ICI La rue comme une blessure Qui ne se fermera pas 37.
Page 70
... pain . Suffisent aux mourants J'ai connu la vertu vivante J'ai connu le bien incarné Je refuse ta mort mais j'accepte la mienne Ton ombre qui s'étend sur moi Je voudrais en faire un jardin L'arc débandé nous sommes de la même nuit Et je ...
... pain . Suffisent aux mourants J'ai connu la vertu vivante J'ai connu le bien incarné Je refuse ta mort mais j'accepte la mienne Ton ombre qui s'étend sur moi Je voudrais en faire un jardin L'arc débandé nous sommes de la même nuit Et je ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux