Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... parle du fond de l'abîme Je parle du fond de mon gouffre C'est le soir et les ombres fuient Le soir m'a rendu sage et fraternel Il ouvre partout ses portes lugubres Je n'ai pas peur j'entre partout Je vois de mieux en mieux la forme ...
... parle du fond de l'abîme Je parle du fond de mon gouffre C'est le soir et les ombres fuient Le soir m'a rendu sage et fraternel Il ouvre partout ses portes lugubres Je n'ai pas peur j'entre partout Je vois de mieux en mieux la forme ...
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... parle en rêve et je transmets Le court moment du grand repos Le temps où rien n'est impossible La chair en plus le miel en trop JE PARLE EN RÊVE Les champs sont labouras les usines rayonnent Et le blé 109.
... parle en rêve et je transmets Le court moment du grand repos Le temps où rien n'est impossible La chair en plus le miel en trop JE PARLE EN RÊVE Les champs sont labouras les usines rayonnent Et le blé 109.
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Paul Éluard. CERTITUDE Si je te parle c'est pour mieux t'entendre Si je t'entends je suis sûr de comprendre Si tu souris c'est pour mieux m'envahir Si tu souris je vois le monde entier Si je t'étreins c'est pour me continuer Si nous ...
Paul Éluard. CERTITUDE Si je te parle c'est pour mieux t'entendre Si je t'entends je suis sûr de comprendre Si tu souris c'est pour mieux m'envahir Si tu souris je vois le monde entier Si je t'étreins c'est pour me continuer Si nous ...
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux