Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... partager la mort avec la mort Rendre coeur au vide et le vide à la vie bout effacer qu'il n'y ait rien ne vitre mi bive Bout effacer qu'il n'y Ni riel devan ' + ne rien derrière rien et fa glace des meain's J ' wais éliminé la flamey ...
... partager la mort avec la mort Rendre coeur au vide et le vide à la vie bout effacer qu'il n'y ait rien ne vitre mi bive Bout effacer qu'il n'y Ni riel devan ' + ne rien derrière rien et fa glace des meain's J ' wais éliminé la flamey ...
Page 156
... partager la mort avec la mort Rendre mon cœur au vide et le vide à la vie Tout effacer qu'il n'y ait rien ni vitre ni buée Ni rien devant ni rien derrière rien entier J'avais éliminé le glaçon des mains jointes J'avais éliminé l ...
... partager la mort avec la mort Rendre mon cœur au vide et le vide à la vie Tout effacer qu'il n'y ait rien ni vitre ni buée Ni rien devant ni rien derrière rien entier J'avais éliminé le glaçon des mains jointes J'avais éliminé l ...
Page 162
... y a toujours un rêve qui veille Désir à combler faim à satisfaire Un cœur généreux Une main tendue une main ouverte Des yeux attentifs Une vie la vie à se partager . Mes sommets étaient à ma taille J'ai roulé dans tous 162 ET UN SOURIRE ...
... y a toujours un rêve qui veille Désir à combler faim à satisfaire Un cœur généreux Une main tendue une main ouverte Des yeux attentifs Une vie la vie à se partager . Mes sommets étaient à ma taille J'ai roulé dans tous 162 ET UN SOURIRE ...
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux