Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... perdre Sur cette terre sans chemins et sous ce ciel sans horizon Belles raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu ...
... perdre Sur cette terre sans chemins et sous ce ciel sans horizon Belles raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu ...
Page 127
... ou naître Le premier jour je t'embrasse Le lendemain tu me tutoies Et pour toujours je crois en toi . Je n'ai rien à gagner Je t'aime trop pour perdre Je ne joue plus je t'aime . J'ai rêvé du printemps le printemps a noirci L'été le 127.
... ou naître Le premier jour je t'embrasse Le lendemain tu me tutoies Et pour toujours je crois en toi . Je n'ai rien à gagner Je t'aime trop pour perdre Je ne joue plus je t'aime . J'ai rêvé du printemps le printemps a noirci L'été le 127.
Page 128
... perdre les couleurs Qui m'imposaient d'être moi - même et ce que j'aime J'aurais pu perdre le pouvoir De savoir le poids du blanc et du noir Une fleur étincelle au milieu du printemps Rouille la pluie la ronge et je passe à l'été Les ...
... perdre les couleurs Qui m'imposaient d'être moi - même et ce que j'aime J'aurais pu perdre le pouvoir De savoir le poids du blanc et du noir Une fleur étincelle au milieu du printemps Rouille la pluie la ronge et je passe à l'été Les ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux