Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... prend son essor que , le 18 novembre 1952 , la mort d'Eluard , seule , devait interrompre . Voie lactée , ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses Nageurs morts , suivrons - nous d'ahan Ton ...
... prend son essor que , le 18 novembre 1952 , la mort d'Eluard , seule , devait interrompre . Voie lactée , ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses Nageurs morts , suivrons - nous d'ahan Ton ...
Page 63
... novembre mil neuf cent quarante - six Nous ne vieillirons pas ensemble . Voici le jour En trop : le temps déborde . Mon amour si léger prend le poids d'un supplice . LES LIMITES DU MALHEUR Mes yeux soudain horriblement moi Ne 63.
... novembre mil neuf cent quarante - six Nous ne vieillirons pas ensemble . Voici le jour En trop : le temps déborde . Mon amour si léger prend le poids d'un supplice . LES LIMITES DU MALHEUR Mes yeux soudain horriblement moi Ne 63.
Page 145
... prend un nouveau visage Le ventre obscur s'entrouvre à la lumière La plaine se dévêt un sentier de forêt Dévide son fuseau sous les pas du soleil Un enfant vient de naître l'ombre d'un oiseau Pèse plus lourd que lui sur la terre géante ...
... prend un nouveau visage Le ventre obscur s'entrouvre à la lumière La plaine se dévêt un sentier de forêt Dévide son fuseau sous les pas du soleil Un enfant vient de naître l'ombre d'un oiseau Pèse plus lourd que lui sur la terre géante ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux