Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... rêve on murmure le nom , Béatrice ou Laure nous demeure présente et quatre siècles se sont écoulés sans que le souvenir de Marie , de Cassandre et d'Hélène se soit effacé de notre mémoire . Pierre de Ronsard , Paul Eluard , d'âge en âge ...
... rêve on murmure le nom , Béatrice ou Laure nous demeure présente et quatre siècles se sont écoulés sans que le souvenir de Marie , de Cassandre et d'Hélène se soit effacé de notre mémoire . Pierre de Ronsard , Paul Eluard , d'âge en âge ...
Page 60
... rêve , Dénoué la campagne et la ville où je passe , Où je rêve éveillé , où le soleil se lève , Où , dans mes yeux absents , la lumière s'amasse . Monde au petit bonheur , sans surface et sans fond , Aux charmes oubliés sitôt que ...
... rêve , Dénoué la campagne et la ville où je passe , Où je rêve éveillé , où le soleil se lève , Où , dans mes yeux absents , la lumière s'amasse . Monde au petit bonheur , sans surface et sans fond , Aux charmes oubliés sitôt que ...
Page 109
... rêve et je transmets Le court moment du grand repos Le temps où rien n'est impossible La chair en plus le miel en trop JE PARLE EN RÊVE Les champs sont labouras les usines rayonnent Et le blé 109.
... rêve et je transmets Le court moment du grand repos Le temps où rien n'est impossible La chair en plus le miel en trop JE PARLE EN RÊVE Les champs sont labouras les usines rayonnent Et le blé 109.
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux