Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 138
... rêves empestait l'aurore Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Pudeur était soûle souillée Richesse adorait la bêtise La beauté la pitié abreuvaient des charniers somptueux Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux ...
... rêves empestait l'aurore Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Pudeur était soûle souillée Richesse adorait la bêtise La beauté la pitié abreuvaient des charniers somptueux Elle n'était pas née Nul ne la connaissait Ses yeux ...
Page 145
... sillons des rêves il confond Ce qu'il ne peut pas être avec ce qu'il sera Seul le fouet de la faim l'éveille et le tourmente Il n'aime pas sa faim mais il aime sa mère Il aime il est nourri de sa nécessité Vivre s'entend 145 V.
... sillons des rêves il confond Ce qu'il ne peut pas être avec ce qu'il sera Seul le fouet de la faim l'éveille et le tourmente Il n'aime pas sa faim mais il aime sa mère Il aime il est nourri de sa nécessité Vivre s'entend 145 V.
Page 150
Paul Éluard. L'été l'hiver je t'ai vue Dans ma maison je t'ai vue Entre mes bras je t'ai vue Dans mes rêves je t'ai vue Je ne te quitterai plus . Il y a sur la plage quelques flaques d'eau Il 150.
Paul Éluard. L'été l'hiver je t'ai vue Dans ma maison je t'ai vue Entre mes bras je t'ai vue Dans mes rêves je t'ai vue Je ne te quitterai plus . Il y a sur la plage quelques flaques d'eau Il 150.
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