Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... ce ciel sans horizon Belles raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu le premier feu Bonne raison maîtresse Etoile ...
... ce ciel sans horizon Belles raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu le premier feu Bonne raison maîtresse Etoile ...
Page 60
... raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu le premier feu Bonne ma raison maîtresse étoile identifiés ( mon coeur ...
... raisons que j'ignorais hier Et que je n'oublierai jamais Belles clés des regards clés filles d'elles - mêmes Devant ce paysage où la nature est mienne Devant le feu le premier feu Bonne ma raison maîtresse étoile identifiés ( mon coeur ...
Page 143
... raison féconde Et raison des moins forts et raison de lutter Pour régner contre le malheur Il suffit d'avancer pour vivre D'aller droit devant soi Vers 143.
... raison féconde Et raison des moins forts et raison de lutter Pour régner contre le malheur Il suffit d'avancer pour vivre D'aller droit devant soi Vers 143.
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux