Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... agile avec sa femme Couple trempé dans son printemps L'or de l'herbe le plomb du ciel Séparés par les flammes bleues De la santé de la rosée Le sang s'irise le cœur tinte A MARC CHAGALL Jour la maison et nuit la rue Les musiciens de 7.
... agile avec sa femme Couple trempé dans son printemps L'or de l'herbe le plomb du ciel Séparés par les flammes bleues De la santé de la rosée Le sang s'irise le cœur tinte A MARC CHAGALL Jour la maison et nuit la rue Les musiciens de 7.
Page 115
... et plus haut que jamais . Il y a de tout dans notre bûcher Des pommes de pin des sarments Mais aussi des fleurs plus fortes que l'eau De la boue et de la rosée . LE PHÉNIX La flamme est sous nos pieds la flamme nous couronne IIS.
... et plus haut que jamais . Il y a de tout dans notre bûcher Des pommes de pin des sarments Mais aussi des fleurs plus fortes que l'eau De la boue et de la rosée . LE PHÉNIX La flamme est sous nos pieds la flamme nous couronne IIS.
Page 164
... rosée S'éveillait à tes premiers pas Dans la forêt verte et mouillée S'ouvraient la bouche et l'œil de l'aube Toutes les feuilles s'allumaient Tu commençais une journée Rien ne devait faire long feu Ce jour brillait comme tant d'autres ...
... rosée S'éveillait à tes premiers pas Dans la forêt verte et mouillée S'ouvraient la bouche et l'œil de l'aube Toutes les feuilles s'allumaient Tu commençais une journée Rien ne devait faire long feu Ce jour brillait comme tant d'autres ...
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux