Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 50
... séparé des amoureux plus laids ensemble Que séparés Pour les sauver j'ai fait chanter la solitude J'ai brisé leurs lèvres au carré J'ai fait sécher j'ai eu le temps de faire sécher 50.
... séparé des amoureux plus laids ensemble Que séparés Pour les sauver j'ai fait chanter la solitude J'ai brisé leurs lèvres au carré J'ai fait sécher j'ai eu le temps de faire sécher 50.
Page 60
... mort mêlent leur contagion Dans les plis de la terre et du ciel confondus . Je n'ai rien séparé mais j'ai doublé mon cœur . D'aimer , j'ai tout créé : réel , imaginaire , Je suis devant ce paysage féminin Comme un enfant devant 60.
... mort mêlent leur contagion Dans les plis de la terre et du ciel confondus . Je n'ai rien séparé mais j'ai doublé mon cœur . D'aimer , j'ai tout créé : réel , imaginaire , Je suis devant ce paysage féminin Comme un enfant devant 60.
Page 121
... séparé de la forêt sans air Et le cri du chagrin du doute s'est brisé Devant le jour de notre amour Gloire l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé le fardeau s'est fait rire Gloire le souterrain est devenu sommet La ...
... séparé de la forêt sans air Et le cri du chagrin du doute s'est brisé Devant le jour de notre amour Gloire l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé le fardeau s'est fait rire Gloire le souterrain est devenu sommet La ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux