Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... ai dans les mains deux mains abandonnées . II Ce bateau s'enfonçait à jamais dans la brume De loin en loin qui dit la haine De proche en proche dit l'amour Les yeux d'air vif souveraine innocente Les seins légers elle 18.
... ai dans les mains deux mains abandonnées . II Ce bateau s'enfonçait à jamais dans la brume De loin en loin qui dit la haine De proche en proche dit l'amour Les yeux d'air vif souveraine innocente Les seins légers elle 18.
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Paul Éluard. Les yeux d'air vif souveraine innocente Les seins légers elle riait de tout Et la mer dispersa le sable de son trône . DIT DE LA FORCE DE L'AMOUR I Le soleil dur 19 III.
Paul Éluard. Les yeux d'air vif souveraine innocente Les seins légers elle riait de tout Et la mer dispersa le sable de son trône . DIT DE LA FORCE DE L'AMOUR I Le soleil dur 19 III.
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... seins décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en es - tu je vis j'ai vécu je vivrai Je crée je t'ai créée je te transformerai Pourtant je suis toujours par toi l'enfant sans ombre Je 98.
... seins décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en es - tu je vis j'ai vécu je vivrai Je crée je t'ai créée je te transformerai Pourtant je suis toujours par toi l'enfant sans ombre Je 98.
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux