Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... Aux jours sans pain sans charbon C'est une question de taille Tant de sages pour un fou Mais rien par - delà l'immense Majorité du bon sens Un jour cru sans proportions ICI La rue comme une blessure Qui ne se fermera pas 37.
... Aux jours sans pain sans charbon C'est une question de taille Tant de sages pour un fou Mais rien par - delà l'immense Majorité du bon sens Un jour cru sans proportions ICI La rue comme une blessure Qui ne se fermera pas 37.
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... sens écho Je me suis étendre dans ma prison aux portes vierges quifita , Comme un mort raisonnable qui a su mour Un mort nay couronne sinon de soy néant Je me suis étendu sur les absurdes Ja Shaile di léger Du poison absorbie par amour de ...
... sens écho Je me suis étendre dans ma prison aux portes vierges quifita , Comme un mort raisonnable qui a su mour Un mort nay couronne sinon de soy néant Je me suis étendu sur les absurdes Ja Shaile di léger Du poison absorbie par amour de ...
Page 142
... sens Figurant sur deux bouches des baisers égaux Elle accordait son cœur au temps qui se dépasse Elle ne voulait pas joindre vivre et mourir Elle répétait vivre et brisait les barrières Elle était trop rapide pour ne pas durer Dans son ...
... sens Figurant sur deux bouches des baisers égaux Elle accordait son cœur au temps qui se dépasse Elle ne voulait pas joindre vivre et mourir Elle répétait vivre et brisait les barrières Elle était trop rapide pour ne pas durer Dans son ...
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux