Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... soleil Nos couleurs et notre lumière La capitale du soleil Est à l'image de nous - mêmes Et dans l'asile de nos murs Notre porte est celle des hommes . PAR UN BAISER A Cécile Mare Chag all . 1947 9.
... soleil Nos couleurs et notre lumière La capitale du soleil Est à l'image de nous - mêmes Et dans l'asile de nos murs Notre porte est celle des hommes . PAR UN BAISER A Cécile Mare Chag all . 1947 9.
Page 76
... soleil au grand soleil et nous mourons d'être vivants Ecoute ici c'est notre chien ici notre maison Ici c'est notre lit ici ceux qui nous aiment Tous les produits de notre cœur de notre sang Et de nos sens et de nos rêves Je n'oublie ...
... soleil au grand soleil et nous mourons d'être vivants Ecoute ici c'est notre chien ici notre maison Ici c'est notre lit ici ceux qui nous aiment Tous les produits de notre cœur de notre sang Et de nos sens et de nos rêves Je n'oublie ...
Page 135
... soleil et de pain chaud Mais pourtant le flot des moissons brûlait le mauvais temps . Une seule goutte d'eau Multipliait ses halos Dans l'anneau d'une alliance . VII La ruche de ta chair sous l'unique soleil Dora d'unique miel mon ciel ...
... soleil et de pain chaud Mais pourtant le flot des moissons brûlait le mauvais temps . Une seule goutte d'eau Multipliait ses halos Dans l'anneau d'une alliance . VII La ruche de ta chair sous l'unique soleil Dora d'unique miel mon ciel ...
Table des matières
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Section 2 | 49 |
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux