Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 5
Page 98
... déférent Des seins décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en es - tu je vis j'ai vécu je vivrai Je crée je t'ai créée je te transformerai Pourtant je suis toujours par toi l'enfant sans ombre Je 98.
... déférent Des seins décents aimables complaisants Et ces mains obstinées au travail des caresses Où en es - tu je vis j'ai vécu je vivrai Je crée je t'ai créée je te transformerai Pourtant je suis toujours par toi l'enfant sans ombre Je 98.
Page 149
... t'ai vue Sous un arbre je t'ai vue Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu AIR VIF L'été l'hiver je t'ai vue Dans ma maison je t'ai 149 AIR VIF ...
... t'ai vue Sous un arbre je t'ai vue Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu AIR VIF L'été l'hiver je t'ai vue Dans ma maison je t'ai 149 AIR VIF ...
Page 150
Paul Éluard. L'été l'hiver je t'ai vue Dans ma maison je t'ai vue Entre mes bras je t'ai vue Dans mes rêves je t'ai vue Je ne te quitterai plus . Il y a sur la plage quelques flaques d'eau Il 150.
Paul Éluard. L'été l'hiver je t'ai vue Dans ma maison je t'ai vue Entre mes bras je t'ai vue Dans mes rêves je t'ai vue Je ne te quitterai plus . Il y a sur la plage quelques flaques d'eau Il 150.
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux