Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 32
... bonheur cruel Nous sommes la fraîcheur future La première nuit de repos Qui s'ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs Nul ne pourra les ignorer . GRANDEUR D'HIER ET D'AUJOURD'HUI I Les vagues des murs et 32.
... bonheur cruel Nous sommes la fraîcheur future La première nuit de repos Qui s'ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs Nul ne pourra les ignorer . GRANDEUR D'HIER ET D'AUJOURD'HUI I Les vagues des murs et 32.
Page 50
... s'éteignait sous de vagues rencontres J'ai séparé des amoureux plus laids ensemble Que séparés Pour les sauver j'ai fait chanter la solitude J'ai brisé leurs lèvres au carré J'ai fait sécher j'ai eu le temps de faire sécher 50.
... s'éteignait sous de vagues rencontres J'ai séparé des amoureux plus laids ensemble Que séparés Pour les sauver j'ai fait chanter la solitude J'ai brisé leurs lèvres au carré J'ai fait sécher j'ai eu le temps de faire sécher 50.
Page 156
... vagues absurdes Du poison absorbé par amour de la cendre La solitude m'a semblé plus vive que le sang Je voulais désunir la vie Je voulais partager la mort avec la mort Rendre mon cœur au vide et le vide à la vie Tout effacer qu'il n'y ...
... vagues absurdes Du poison absorbé par amour de la cendre La solitude m'a semblé plus vive que le sang Je voulais désunir la vie Je voulais partager la mort avec la mort Rendre mon cœur au vide et le vide à la vie Tout effacer qu'il n'y ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux