Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... verte la langue La belle histoire de la langue changée en fée . III Ils n'étaient pas fous les mélancoliques Ils étaient conquis digérés exclus Par la masse opaque Des monstres pratiques Avaient leur âge de raison les mélancoliques L ...
... verte la langue La belle histoire de la langue changée en fée . III Ils n'étaient pas fous les mélancoliques Ils étaient conquis digérés exclus Par la masse opaque Des monstres pratiques Avaient leur âge de raison les mélancoliques L ...
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... verte feuille et blanc métal Poisseux d'ivresse et de chaleur Or oui de l'or pour naître au sol Sous l'écrasante multitude Sous la vie accablante et bonnè . NOTRE MOUVEMENT Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le 4I II.
... verte feuille et blanc métal Poisseux d'ivresse et de chaleur Or oui de l'or pour naître au sol Sous l'écrasante multitude Sous la vie accablante et bonnè . NOTRE MOUVEMENT Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le 4I II.
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... verte Que la mer couvre de ses ailes Et le soleil au bout de tout venant de nous Je suis devant ce paysage féminin Comme une branche dans le feu . didies deproches Manuscrit du poème « L'extase » , signé Didier Desroches . Nusch aux ...
... verte Que la mer couvre de ses ailes Et le soleil au bout de tout venant de nous Je suis devant ce paysage féminin Comme une branche dans le feu . didies deproches Manuscrit du poème « L'extase » , signé Didier Desroches . Nusch aux ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux