Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Paul Éluard. Pauvre visage sacrifié Pauvre visage sans limites Composé de tous les visages saccagés Tu rêvais de balcons de voiles de voyages Tu rêvais de printemps de baisers de bonté Tu savais bien quels sont les droits et les devoirs ...
Paul Éluard. Pauvre visage sacrifié Pauvre visage sans limites Composé de tous les visages saccagés Tu rêvais de balcons de voiles de voyages Tu rêvais de printemps de baisers de bonté Tu savais bien quels sont les droits et les devoirs ...
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... absurde du bonheur cruel Nous sommes la fraîcheur future La première nuit de repos Qui s'ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs Nul ne pourra les ignorer . GRANDEUR D'HIER ET D'AUJOURD'HUI I Les vagues des murs et 32.
... absurde du bonheur cruel Nous sommes la fraîcheur future La première nuit de repos Qui s'ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs Nul ne pourra les ignorer . GRANDEUR D'HIER ET D'AUJOURD'HUI I Les vagues des murs et 32.
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Paul Éluard. Un tout petit visage au sommet d'un grand corps Un corps réduit à rien par un ardent visage L'amour est plus léger que le désir d'aimer . Donner à boire et donner à manger A ces enfants que nous imaginons Qui n'ont que nous ...
Paul Éluard. Un tout petit visage au sommet d'un grand corps Un corps réduit à rien par un ardent visage L'amour est plus léger que le désir d'aimer . Donner à boire et donner à manger A ces enfants que nous imaginons Qui n'ont que nous ...
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux