Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 20
Page 27
... vivre Vivre vivre sur leur fumier . DU FOND DE L'ABIME Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le jour est 27.
... vivre Vivre vivre sur leur fumier . DU FOND DE L'ABIME Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le jour est 27.
Page 142
... vivre et mourir Elle répétait vivre et brisait les barrières Elle était trop rapide pour ne pas durer Dans son orbe brillaient le soc de la charrue La semence levée et le bloc des moissons Ses nuages de nuit éclataient de pluie tiède Un ...
... vivre et mourir Elle répétait vivre et brisait les barrières Elle était trop rapide pour ne pas durer Dans son orbe brillaient le soc de la charrue La semence levée et le bloc des moissons Ses nuages de nuit éclataient de pluie tiède Un ...
Page 146
Paul Éluard. Il aime il est nourri de sa nécessité Vivre s'entend partout de la même manière Il faut aimer pour vivre il faut être nourri De son désir et du plaisir d'être nourri L'enfant - reflet anime un amour réciproque . VI Une perle ...
Paul Éluard. Il aime il est nourri de sa nécessité Vivre s'entend partout de la même manière Il faut aimer pour vivre il faut être nourri De son désir et du plaisir d'être nourri L'enfant - reflet anime un amour réciproque . VI Une perle ...
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux