Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... aux bêtes enragées Quelques profondes mares de sang Quelques incendies pétulants Pour égayer ceux qui vont vivre Vivre vivre sur leur fumier . DU FOND DE L'ABIME Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le jour est 27.
... aux bêtes enragées Quelques profondes mares de sang Quelques incendies pétulants Pour égayer ceux qui vont vivre Vivre vivre sur leur fumier . DU FOND DE L'ABIME Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses Le jour est 27.
Page 116
... Vont s'envoler Ceux qui volent vont se poser Le ciel est clair la terre est sombre Mais la fumée s'en va au ciel Le ciel a perdu tous ses feux . La flamme est restée sur la terre La flamme est la nuée du cœur Et toutes les branches du ...
... Vont s'envoler Ceux qui volent vont se poser Le ciel est clair la terre est sombre Mais la fumée s'en va au ciel Le ciel a perdu tous ses feux . La flamme est restée sur la terre La flamme est la nuée du cœur Et toutes les branches du ...
Page 147
... enfant un matin d'exception Fructifiant au ras du sol Une cendre rougeoyant Un dimanche visible Une vague réduite à une goutte d'eau Une lampe en plein jour . Mes souvenirs vont au cœur loin De chaque enfant inexpressif 147.
... enfant un matin d'exception Fructifiant au ras du sol Une cendre rougeoyant Un dimanche visible Une vague réduite à une goutte d'eau Une lampe en plein jour . Mes souvenirs vont au cœur loin De chaque enfant inexpressif 147.
Table des matières
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux