| Eugène Fromentin - 1882 - 322 pages
...malheureusement, quand il s'empare de la plaine , c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-toi toujours la même touffe poussant au hasard sur un...une chevelure au moindre souffle, si bien qu'il ya presque toujours du vent dans l'alfa. De loin, on dirait une immense moisson qui ne veut pas mûrir... | |
| Paul Gaffarel - 1888 - 808 pages
...s'empare de la plaine, c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-toi toujours la même toutfe poussant au hasard sur un terrain tout bosselé, avec...une chevelure au moindre souffle, si bien qu'il ya presque toujours du vent dans l'alfa. De loin on dirait une immense moisson qui ne veut pas mûrir... | |
| Société royale de botanique de Belgique - 1898 - 498 pages
...s'empare de la plaine, c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-loi toujours la même loulT; poussant au hasard sur un terrain tout bosselé, avec...une chevelure au moindre souffle, si bien qu'il ya presque toujours du vent dans l'Alfa. De loin, on dirait une immense moisson qui ne veut pas mûrir... | |
| Jean Massart - 1898 - 160 pages
...malheureusement, quand il s'empare de la plaine, c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-toi toujours la même touffe poussant au hasard sur un...s'agitant, ondoyant comme une chevelure au moindre souille, si bien qu'il ya presque toujours du vent dans l'Alfa. De loin, on dirait une immense moisson... | |
| Jean Massart - 1898 - 166 pages
...malheureusement, quand il s'empare de la plaine, c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-toi toujours la même touffe poussant au hasard sur un...tout bosselé, avec l'aspect et la couleur d'un petit joue, s'agitant, ondoyant comme une chevelure an moindre souffle, si bien qu'il ya presque toujours... | |
| 1898 - 500 pages
...malheureusement, quand il s'empare de la plaine, c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-toi toujours la même touffe poussant au hasard sur un terrain tout bosselé, avec l'aspect et là couleur d'un petit joue, s'agitant, ondoyant comme une chevelure au moindre souffle, si bien qu'il... | |
| Paul Bernard, F. Redon - 1906 - 204 pages
...quand il s'empare de la plaine, c'est alors pour des lieues et des lieues. Imagine-toi toujours 1* même touffe poussant au hasard sur un terrain tout...une chevelure au moindre souffle, si bien qu'il ya presque toujours du vent dans l'alfa. De loin, on dirait une immense moisson qui ne veut pas mûrir... | |
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