| Petitot (M., Claude-Bernard), Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué - 1824 - 476 pages
...avec tant de familiarité qu'il sembloit qu'elle fût sa sœur, et qu'elle l'eût vue toute sa vie. Ces choses .plurent à la Reine ; et toute la journée on ne parla que de la Danoise , de sa douce gravité , de la grâce qu'elle avoit en toutes ses actions , et des marques qu'elle... | |
| 1824 - 476 pages
...seroit sans doute plus aise de voir que tout ce qu'elle lui montroit. Elle prit la main de la Reine , puis, l'ayant dégantée, elle la baisa, et la loua...grâce. Elle lui leva son mouchoir pour voir sa gorge , avec tant de familiarité qu'il sembloit qu'elle fût sa sœur, et qu'elle l'eût vue toute sa vie.... | |
| Louis-Henri de Loménie De Brienne - 1828 - 464 pages
...pourtant point trop surprise. « L'ambassadrice de Danemarck , « dit-elle, prit la main de la Reine, puis l'ayant « dégantée, elle la baisa et la loua...elle lui leva son mouchoir, pour voir « sa gorge, avec tant de familiarité, qu'il sem« blait qu'elle fût sa sœur et qu'elle l'eût vue « toute sa... | |
| Louis Henri de Loménie comte de Brienne - 1828 - 494 pages
...pourtant point trop surprise. «L'ambassadrice de Danemarck, « dit-elle, prit la main de la Reine, puis l'ayant « dégantée, elle la baisa et la loua...elle lui leva son mouchoir, pour voir « sa gorge , avec tant de familiarité , qu'il sem« blait qu'elle fût sa sœur et qu'elle l'eût vue « toute... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 476 pages
...seroit sans doute plus aise de voir que tout ce qu'elle lui montroit. Elle prit la main de la Reine , puis, l'ayant dégantée, elle la baisa, et la. loua...grâce. Elle lui leva son mouchoir pour voir sa gorge, avec tant de familiarité qu'il sembloit qu'elle fût sa sœur, et qu'elle l'eût vue toute sa vie.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1838 - 812 pages
...tant de familiarité , qu'il » semblait qu'elle fût sa sœur et qu'elle l'eût vue toute sa » vie. Ces choses plurent à la reine, et toute la journée » on ne parla que de la Danoise , de sa douce gravité et » des marques qu'elle avait données d'avoir beaucoup d'es.» prit et de... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1838 - 656 pages
...familiarité qu'il sembloit qu'elle fût sa sœur, et qu'elle l'eût vue toute sa vie. Ces choses plurent a la Reine ; et toute la journée on ne parla que de la Danoise, de sa douce gravité, de la grâce qu'elle avoit en toutes ses actions , et des marques qu'elle avoit... | |
| François-René de Chateaubriand - 1851 - 528 pages
...tant de familiarité , qu'il semblait « qu'elle fût sa sœur et qu'elle l'eût vue toute sa vie. Ces choses « plurent à la reine , et toute la journée on ne parla que de la Da« noise , de sa douce gravité et des marques qu'elle avait données « d'avoir beaucoup d'esprit... | |
| Françoise de Motteville - 1855 - 466 pages
...avec tant de familiarité qu'il sembloit qu'elle fût sa sœur, et qu'elle l'eût vue toute sa vie. Ces choses plurent à la Reine ; et toute la journée on ne parla que de la Danoise, de sa douce gravité, de la grâce qu'elle avoit en toutes ses actions , et des marques qu'elle avoit... | |
| Amédée Renée - 1856 - 512 pages
...seroit sans doute plus aise do voir que tout ce qu'elle lui montroit. Elle prit la main de la reine, puis l'ayant dégantée, elle la baisa et la loua...données d'avoir beaucoup d'esprit et de raison... » (Mém, de madame de Mottecille, collecl. Petitol, t. XxXvii, p. 247.) i M cin. de Mademoiselle,... | |
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