Histoire de Washington et de la fondation de la république des États-UnisDidier, 1855 - 491 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire de Washington et de la fondation de la république des États-Unis Cornelis Henri de Witt,François Guizot Affichage du livre entier - 1859 |
Histoire de Washington et de la fondation de la république des États-Unis Cornelis Henri de Witt Affichage du livre entier - 1855 |
Histoire de Washington et de la fondation de la République des ..., Volume 1 Cornelis Henri Witt Affichage du livre entier - 1855 |
Expressions et termes fréquents
actes affaires américaine anglais armée articles de Confédération assemblés en Congrès assez avaient Boston C'était Caroline Caroline du Sud Chambre des représentants Charles Cotesworth Pinckney chef citoyens Clinton colonel colonies commerce confiance Connecticut Constitution Convention Corr déclaration Delaware délégués démocratique devant écrivait écrivait-il ennemi esprit États États-Unis assemblés Fayette fédéraliste française Franklin général Howe George George III gouvernement Gouverneur Morris Grande-Bretagne guerre Hamilton Henry hommes ington intérêts jamais Jeff Jefferson John Adams John Jay jour l'Amérique l'Angleterre l'armée l'ennemi l'Espagne l'esprit l'État l'indépendance l'Union laisser législature liberté lord lutte Madison Maryland Massachusetts membres ment mesure militaire ministre Mount-Vernon n'avait n'était nation négociations New-Jersey New-York officiers paix patriotisme pays Pensylvanie peuple Philadelphie Pinckney politique population pouvait pouvoir Président public Randolph refusa rester révolution Rhode-Island s'était secrétaire Sénat sentiment sera seront seul sir Henry Clinton soldats succès tion traité troupes Virginie Virginiens vote Wash Washington William Writ Writings
Fréquemment cités
Page 403 - Washington est mort. Ce grand homme s'est battu contre la tyrannie. Il a consolidé la liberté de sa patrie. Sa mémoire sera toujours chère au peuple français comme à tous les hommes libres des deux mondes, et spécialement aux soldats français qui, comme lui et les soldats américains, se battent pour l'égalité et la liberté.
Page 428 - Nous publions et déclarons solennellement au nom de l'autorité du bon peuple de ces colonies, que ces colonies unies sont et ont droit d'être des États libres et indépendants ; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la couronne de la Grande-Bretagne...
Page xcvi - Bien qu'en repassant les actes de mon « administration je n'aie connaissance d'aucune faute « d'intention, j'ai un sentiment trop profond de mes « défauts pour ne pas penser que probablement j'ai « commis beaucoup de fautes. Quelles qu'elles soient, « je supplie avec ferveur le Tout-Puissant d'écarter « ou de dissiper les maux qu'elles pourraient entraî
Page 428 - États indépendants ont droit de faire; et, pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien •de cette déclaration nos vies, nos fortunes, et notre bien le plus sacré, l'honneur.
Page li - Pendant que nos voitures s'éloignaient l'une de l'autre, je me demandais souvent si c'était pour la dernière fois que je vous avais vu ; et malgré mon désir de dire non, mes craintes répondaient oui. Je rappelais à mon esprit les jours de ma jeunesse, et je trouvais que depuis longtemps ils avaient fui pour ne plus revenir, que je descendais à présent la colline que j'ai gravie pendant cinquante-deux ans; car je sais que, malgré la force de ma constitution, je suis d'une famille où l'on...
Page 468 - Bien qu'en repassant les actes de mon administration, je n'aie connaissance d'aucune faute d'intention, j'ai un sentiment trop profond de mes défauts pour ne pas penser que probablement j'ai commis beaucoup de fautes. Quelles qu'elles soient, je supplie avec ferveur le Tout-Puissant d'écarter ou de dissiper les maux qu'elles pourraient entraîner. J'emporterai aussi avec moi l'espoir que mon pays ne cessera jamais de les considérer avec indulgence , et qu'après quarantecinq années de ma vie...
Page c - ... le triomphe de ses adversaires. Plus d'une fois peut-être, sans altérer sa sérénité, ce résultat s'était offert à sa pensée : « Un motif dominant a dirigé ma conduite : donner du temps à mon pays pour asseoir et mûrir ses institutions encore récentes, et pour s'élever, sans secousse, à ce degré de consistance et de force qui peut seul lui assurer, humainement parlant, le gouvernement de ses propres destinées ' . » Le peuple des États-Unis gouverne en effet ses propres destinées.
Page xv - Jour redoutable et inconnu, que nulle science humaine ne saurait prévoir, que nulle constitution humaine ne peut régler, qui pourtant se lève quelquefois, marqué par la main divine. Si l'épreuve qui commence alors était absolument interdite, si du point mystérieux où il réside, ce grand droit social ne pesait pas sur la tête des pouvoirs mêmes qui le nient, depuis longtemps, le genre humain, tombé sous le joug, aurait perdu toute dignité, comme tout honneur.
Page xxxiii - Dès que la querelle s'éleva, Washington fut convaincu que la cause de son pays était juste, et qu'à une cause si juste, dans un pays déjà si grand, le succès ne pouvait manquer. Pour conquérir l'indépendance par la guerre, il fallut neuf ans; pour fonder le gouvernement par la politique, dix ans. Les obstacles, les revers, les inimitiés, les trahisons, les erreurs et les langueurs publiques, les dégoûts personnels abondèrent, ainsi qu'il arrivo, sous les pas de Washington, dans cette...
Page lxxxiv - Ibid., p. 314. ni son opinion personnelle, ni la politique de son pays. Quand le jour difficile arriva, quand la déclaration de guerre entre la France et l'Angleterre fit éclater en Europe la grande lutte révolutionnaire , la résolution de Washington fut nette et prompte. Il proclama sur-le-champ la neutralité des ÉtatsUnis. « Ma politique est simple. Vivre en relations amicales avec toutes les nations de la terre, mais ne dépendre d'aucune, n'épouser les querelles d'aucune ; tenir envers...