 | Musée historique de Mulhouse - 1884 - 670 pages
...autour de ce lieu, ce qui le remplit tout d'une fumée aromatique. Mais chez les petites gens où l'on n'observe pas cette pratique, il est presque impossible...couchent, ils y mangent, ils y sèchent leur linge et ils gardent du fruit, ce qui y cause une puanteur détestable. Joignez à cela une quantité importune... | |
 | Rodolphe Reuss - 1898 - 664 pages
...tout autour de ce lieu, ce qui le remplit... d'une fumée aromatique. Mais chez les petites gens... il est presque impossible d'y durer, car ils y couchent, ils y mangent, ils y sèchent leur linge, et ils gardent du fruit, ce qui cause une puanteur détestable. Joignez à cela une quantité importune de... | |
 | Charles Eugène Alexandre Hoffmann - 1906 - 784 pages
...autour de ce lieu, ce qui le remplit tout d'une fumée aromatique. Mais chez les petites gens, où l'on n'observe pas cette pratique, il est presque impossible...sèchent leur linge et ils y gardent du fruit: ce qui y cause une puanteur détestable. Joignez à cela une quantité importune de mouches et de puces, qui... | |
 | Adolphe van Bever - 1920 - 442 pages
...d'âne fumée aromatique. Mais chez les petites gens... il est presque impossible d'y tlàner,-car ils y couchent, ils y mangent, ils y sèchent leur...gardent du fruit, ce qui cause une puanteur détestable. Joignez à cela une quantité importune de mouches et do puces qui s'y conservent toute Tannée, -et... | |
 | Paul Delsalle - 1995 - 212 pages
...seulement sont dites salles, cuisines ou greniers). Dans la salle chauffée des maisons alsaciennes «il est presque impossible d'y durer, car ils y couchent, ils y mangent, ils y sèchent leur linge et y gardent du fruit, ce qui est cause de puanteur détestable». La spécialisation progressive des... | |
 | 1907 - 792 pages
...n'observaient pas cette pratique, il était presque impossible de durer, car, dit le même texte, « ils y couchent, ils y mangent, ils y sèchent leur linge et y gardent dafruit, ce qui cause une puanteur détestable ». — Un amusant chapitre concerne les hôtelleries,... | |
| |
Chez les bons bourgeois, on a coutume, dès qu'on a mangé, d'ouvrir les fenêtres du poêle et d'y brûler du bois de genièvre dans un réchaut qu'une servante porte en marchant tout autour de ce lieu, ce qui le remplit tout d'une fumée aromatique.... 